Je l’imagine
comme une rose
Dont le cœur
garde au secret
Des milliers de
belles choses
Que ses yeux ne
voient jamais
Je la suppose
tendre et passionnée
Et dans son ciel
aux myriades d’étoiles
Une place est
grande pour l’amitié
Qu’elle dispense sans
mettre de voile
Tour à tour douce
et joueuse
Grisée de mille
baisers
Les soirs d’été
la laisse joyeuse
Les jours
d’orages désespérée
Pourtant elle
aime la vie
Comprendre, aimer
Et si ce n’est
point encore mon amie
Nul doute ne
viendra nous séparer
Verteprairie
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