Sylval…

La tendresse de deux amies
Vaut la force de deux amants
Quant l'une à l'autre sourit
Je sens battre leurs cœurs d'enfants

De leurs mains jointes en corbeille
En sort une moisson de soleil
C'est un foyer hors des sentiers battus
Qu'elles offrent à des enfants perdus

Elles sont de grandes amies
Mais de cette façon leur cœur est pris
Il faut accepter leur différence
Qui n'est pas seulement une expérience

Car leur amour leur appartient
Comme une fleur qui s'ouvre au jour
Un bouquet de joies pour toujours
Une rose pour demain…


Verteprairie 200604 1237

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